• Arval poursuit la croissance de ses activités en Suisse et renforce sa position d’acteur majeur dans le secteur de la mobilité.
  • Eva Rothe prend la direction d’Arval Suisse à compter du 1er mai 2024 et succède à Pascal Seeger.

Eva Rothe, actuellement Commercial Director d’Arval Allemagne, prend la direction d’Arval Suisse à compter du 1er mai 2024.

Elle succède ainsi à Pascal Seeger qui devient Global Remarketing Director du groupe Arval. Arval est une entreprise de BNP Paribas et un leader du marché suisse du Full Service Leasing et de la gestion de flotte.

Eva Rothe a commencé sa carrière chez Arval en Allemagne en 1992 en tant que Buy & Delivery Expert. Elle a occupé par la suite différents postes au sein de Global Operations et Sales, notamment en tant que Manager Internal Sales. En 2021, elle a été nommée Commercial Director d’Arval Allemagne. Avec son équipe, elle a joué un rôle important dans la croissance continue d’Arval Allemagne. Grâce à sa forte orientation clientèle ainsi qu’envers ses équipes, Eva Rothe a développé le secteur de l’entreprise l’année dernière pour atteindre plus de 100’000 véhicules loués dans la flotte d’Arval Allemagne.

Arval propose aux grands groupes internationaux comme aux moyennes et petites entreprises mais aussi aux particuliers des solutions flexibles pour rendre leurs trajets plus fluides et plus responsables. Plus récemment, Arval a diversifié ses activités pour devenir un acteur important dans le domaine de la mobilité intégrée et s’adresser à un public plus large. Au total, les 8’400 collaborateurs d’Arval louent pour leurs clients plus de 1’700’000 véhicules dans 29 pays. En Suisse, l’équipe compte 110 spécialistes qui gèrent plus de 22’000 véhicules.

« Nous remercions Pascal Seeger pour sa gestion très réussie d’Arval Suisse au cours des six dernières années. Outre sa croissance continue, Arval Suisse se distingue aussi par la satisfaction de ses équipes et de sa clientèle. Les conditions idéales sont donc réunies pour accueillir Eva Rothe et lui permettre de poursuivre le développement d’Arval Suisse en 2024, une année de transition pour le marché et pour Arval. Après une année 2023 exceptionnelle, Eva Rothe va continuer à renforcer la position d’Arval comme l’un des acteurs majeurs du secteur de la mobilité en Suisse »

Marcus Schulz, Regional General Manager d’Arval pour l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, la Suisse, l’Autriche et le Luxembourg.

  • BNP Paribas s’installe Via Nassa 11, une adresse emblématique au cœur de Lugano.
  • Présent depuis 150 ans en Suisse et depuis plus de 50 ans à Lugano, BNP Paribas en Suisse confirme ainsi sa stratégie de développement et d’investissement au service de sa clientèle et de l’économie tessinoise.

Le 12 octobre 2023, BNP Paribas a inauguré ses nouveaux locaux Via Nassa 11, adresse emblématique située dans le cœur historique de Lugano. Ce déménagement témoigne de l’importance que la banque accorde au développement de ses activités au Tessin, dont le dynamisme et la capa­cité d’innovation carac­té­risent l’éco­no­mie.

Etablie en Suisse depuis 1872, forte aujourd’hui de quelque 1200 collaborateurs, BNP Paribas en Suisse continue de croître et de développer ses activités en tant que partenaire privilégié d’une clientèle composée d’entreprises, d’institutions financières et de clients privés.

​La cérémonie d’inauguration s’est tenue en présence des membres du Conseil d’administration de BNP Paribas (Suisse) SA Yves Martrenchar et Marina Masoni, d’Enna Pariset, CEO de BNP Paribas (Suisse) SA et Head of Territory du Groupe BNP Paribas en Suisse, Beat Bachmann, CEO Wealth Management Switzerland & Emerging Markets et Fabio Spinelli, Site Manager Wealth Management Lugano.

A cette occasion, la banque a également présenté l’œuvre de l’artiste suisse Douglas Mandry, soutenu par la Fondation BNP Paribas Suisse en tant que « Young Swiss Artist 2023 ». L’une de ses pièces, exposée à Lugano, rejoint la collection d’art de la Fondation.

« Continuer d’accompagner le développement de l’économie tessinoise et de ses acteurs, notamment les entrepreneurs et la clientèle privée, est une priorité pour BNP Paribas Wealth Management. »

Beat Bachmann, CEO Wealth Management Switzerland & Emerging Markets

« Ce déménagement marque une étape prometteuse pour notre banque au Tessin. En rejoignant le cœur de Lugano à une adresse prestigieuse pour soutenir les clients privés, entrepreneurs, institutions financières et entreprises de la région, BNP Paribas réaffirme ses ambitions au service d’une économie tessinoise en plein essor. »

Enna Pariset, CEO de BNP Paribas (Suisse) SA et Head of Territory du Groupe BNP Paribas en Suisse.

© Photo Header – Antonio Sessa

En ligne avec l’ambition de devenir un des leaders du marché en Suisse, Enna Pariset est nommée CEO de BNP Paribas (Suisse) SA*. Elle occupera ce poste à compter du 1er juillet, parallèlement à son rôle de Head of Territory pour le Groupe BNP Paribas en Suisse. Enna conserve également ses responsabilités de CEO de BNP Paribas Corporate & Institutional Banking Suisse.

Elle s’attachera à développer l’activité et la clientèle de BNP Paribas en Suisse, tout en continuant à soutenir la transformation du territoire suisse dans une démarche d’amélioration permanente de son efficacité.

Enna Pariset, forte d’une expérience de 29 ans dans le secteur bancaire, dont 19 au sein de BNP Paribas, a occupé différents postes de direction et de relations clientèle senior au sein des métiers de Corporate & Institutional Bank.

* Sous réserve d’approbation par la FINMA et le Conseil d’administration de BNP Paribas (Suisse) SA

« BNP Paribas est présente en Suisse depuis plus de 150 ans et a contribué dès l’origine au développement industriel du pays, notamment avec le financement des infrastructures ferroviaires du Gothard et du Simplon. La Suisse, avec son économie forte et tournée vers l’exportation, est un important marché de croissance pour BNP Paribas.

En tant que première banque européenne, présente au niveau mondial dans 65 pays, notre objectif est d’être un leader du marché et un partenaire bancaire international de confiance pour les clients suisses.

Motivés par notre forte croissance et de nouveaux investissements prévus dans le pays, mon équipe et moi-même sommes engagés à apporter une contribution tangible au succès des entreprises suisses et de la place financière suisse dans son ensemble. »

Enna Pariset

Le Groupe BNP Paribas annonce une nouvelle gouvernance en Suisse alors qu’il se prépare à célébrer ses 150 ans de présence dans le pays en 2022.

Enna Pariset, à ce jour CEO de Corporate & Institutional Banking en Suisse, est nommée Head of Territory de BNP Paribas en Suisse à compter du 1 janvier 2022.

Enna Pariset, avec ses 28 ans d’éxpérience dans le secteur bancaire, dont 18 au sein de BNP Paribas, a occupé des postes senior dans la gestion des clients et de direction au sein de Corporate & Institutional Banking.

Dans son nouveau rôle de Head of Territory de BNP Paribas en Suisse, elle supervisera et représentera toutes les activités du Groupe BNP Paribas en Suisse et dirigera leurs plans de développement stratégique et leurs investissements dans le pays.

En plus de ses nouvelles fonctions, Enna Pariset gardera sa responsabilité de CEO de Corporate & Institutional Banking en Suisse.

Arnaud Zeitoun, à ce jour Deputy CEO de BNP Paribas (Suisse) SA est nommé CEO de BNP Paribas (Suisse) SA à compter du 1 janvier 2022.

Arnaud Zeitoun a rejoint le Groupe BNP Paribas en 2003 où il a occupé des postes senior au sein des équipes Fixed Income et Global Markets.

Il a ensuite été Global Head of Transformation et membre du Comité Exécutif de BNP Paribas Asset Management de 2016 à 2019.

Dans son nouveau rôle, Arnaud Zeitoun dirigera la transformation stratégique de la banque et soutiendra les projets du Groupe BNP Paribas en Suisse.

Après trois ans et demi dirigeant les activités du Groupe BNP Paribas en Suisse, Monique Vialatou a décidé, en accord avec le Management du Groupe, de mettre fin à ses responsabilités en tant que Responsable Territoire et CEO de BNP Paribas (Suisse) SA à compter du 31 décembre 2021.

Grâce aux actions menées par Monique Vialatou ces dernières années, BNP Paribas est désormais bien placée pour continuer son développement en Suisse.

BNP Paribas en Suisse et Gamned! – société experte et pionnière en publicité programmatique depuis 2009 – unissent leur force dans une démarche de responsabilité sociale et environnementale en lançant un dispositif publicitaire adapté aux attentes des consommateurs. Cette approche conjointe démontre la volonté croissante de BNP Paribas en Suisse de s’engager pour davantage d’investissements responsables.

“Cette approche s’inscrit dans l’objectif de BNP Paribas de contribuer à un avenir meilleur pour notre société et notre environnement. De plus, l’initiative proposée par Gamned! contribue à rendre la publicité en ligne solidaire et positive et nous permet de valoriser et communiquer davantage sur nos différents engagements.”

explique Anna Franziska Becher, Head of Company Engagement chez BNP Paribas en Suisse.

Comment cela fonctionne-t-il ? Gamned! s’appuie sur le format solidaire de Goodeed et reverse une partie du budget investi au profit de l’association ZeroWaste Switzerland sélectionnée par BNP Paribas en Suisse. L’objectif du format solidaire consiste à mettre en avant l’engagement des différentes marques en indiquant à l’internaute que la publicité est solidaire. A ce jour, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont pu contribuer aux projets de l’association.

La crise sanitaire conduit à repenser l’impact de la publicité et notre responsabilité. C’est pourquoi nous avons décidé de proposer rapidement des dispositifs plus solidaires et responsables à nos clients pour être en adéquation avec les attentes des consommateurs. Nous sommes fiers d’accompagner BNP Paribas en Suisse dans sa capacité à innover en testant cette première campagne solidaire avec le format Programmagood de Goodeed. Cette initiative va ouvrir la voie à d’autres annonceurs pour se lancer”

conclut Pierre Berendes, le Directeur Général de Gamned!.

POUR LA PREMIÈRE FOIS, GENÈVE A ACCUEILLI LE HACKATHON SOLIDAIRE INTER-ENTREPRISES BIG BLOOM LES 17 ET 18 SEPTEMBRE.

Une dizaine de collaborateurs de BNP Paribas en Suisse ont ainsi contribué, aux côtés d’autres grandes entreprises.

Après 27 éditions à Paris, Lisbonne, Bruxelles, Singapour…. Big Bloom est arrivé en Suisse avec sa première édition 100% digitale à Genève.

Big Bloom : un évènement apprenant et solidaire

L’initiative Big Bloom à but non-lucratif est née en France fin 2018. Elle organisae des hackathons solidaires inter-entreprises. Les hackathons Big Bloom visent à accélérer des projets associatifs en mobilisant les talents des entreprises. Pendant 48h, plusieurs dizaines de collaborateurs de grandes entreprises travaillent ensemble pour développer des prototypes répondant à une problématique précise rencontrée par l’association bénéficiaire. A la fois formation au leadership et action de solidarité, l’initiative a reçu le label French Impact. Ce label marque le soutien du Ministère français de la Transition Écologique et Solidaire.

Aider la Banque alimentaire de Genève à relever l’un de ses défis stratégiques

La Fondation Partage collecte et trie les invendus des commerces et entreprises alimentaires à Genève. Elle les distribue gratuitement aux associations et services sociaux qui aident et nourrissent les personnes en difficulté. Partage lutte ainsi contre le gâchis alimentaire, soutient la réinsertion professionnelle et agit en faveur de l’environnement.

Depuis sa création en 2005, Partage fait face chaque année à une augmentation des besoins et la crise sanitaire du COVID-19 a accentué encore davantage la précarité de nombreuses personnes à Genève. Durant ce Hackathon, les participants de plusieurs grandes entreprises ont travaillé avec les méthodes de Design Thinking pour aider l’association à concevoir une stratégie de communication et de fundraising ambitieuse pour 2021.

Le « social leadership » chez BNP Paribas

En ligne avec la volonté du Groupe BNP Paribas de contribuer à un monde meilleur et à une économie durable, la banque s’appuie sur des leaders engagés et à l’esprit entrepreneurial. Ils génèrent ainsi du business à « impact positif » et accélérent le changement des mentalités au sein de l’entreprise.

Grâce à Big Bloom, la banque a permis à une dizaine de ses collaborateurs de vivre une expérience innovante, collaborative et engagée. Ils ont pu tout développer cinq compétences clés du leadership : l’écoute, la créativité, la coopération et le travail en équipe, le feedback, et la prise de parole en public.

Deux jours incroyables de rencontres avec d’autres professionnels pour mettre en pratique le design thinking dans le but d’aider la fondation Partage« 

Marie Maissa, CIB

Ce Hackathon organisé par BigBloom est une occasion en or d’aider de manière concrète une association comme Partage.ch et d’apprendre beaucoup sur soi !”

Rémi CAROFF, CIB

«  La joie de travailler, de collaborer, de co-créer et d’apprendre sont définitivement au rendez-vous pendant ces 2 jours de Hackathon social. Everything is possible with the right mind-set ! « 

Astrid DRECHSEL-GRAU, BP2S

BNP Paribas (Suisse) SA a décidé de mettre fin à son activité de financement transactionnel dans le secteur des matières premières. Ce désengagement s’effectuera dans des conditions permettant de préserver l’intérêt des clients.

Dans ce cadre, la Banque envisage un plan social pouvant affecter jusqu’à 120 collaborateurs à Genève.

Une période de consultation s’ouvre donc aujourd’hui pour permettre aux collaborateurs de proposer toute suggestion qui permettrait d’atténuer les effets de ce plan, et d’en négocier les mesures d’accompagnement.

Parallèlement, la Banque accentue son développement en Suisse en accompagnant ses clients sur ses métiers de Global Banking, Global Markets et Securities Services au sein du Corporate & Institutional Banking et sur son activité de Wealth Management.

BNP Paribas est présent en Suisse depuis 1872, marché stratégique au cœur du dispositif européen du Groupe, et déploie aujourd’hui sa stratégie autour de ces deux métiers. Corporate & Institutional Banking axe son développement autour des grandes et moyennes entreprises suisses, des multinationales et des institutions financières. Wealth Management se focalise en Suisse sur les entrepreneurs et les grandes fortunes, et les accompagne sur le long terme en répondant de façon globale à leurs besoins financiers et patrimoniaux.

Arrivée il y a un an au sein de BNP Paribas en Suisse, Marie-Angélique anime avec beaucoup d’enthousiasme l’équipe Learning & Development. Enjeu majeur pour toute entreprise, la formation continue de nos collaborateurs fait partie de notre promesse employeur dans le cadre du développement professionnel de chacun.

Constamment adaptée aux besoins des collaborateurs en compétences et objectifs d’évolution de parcours professionnel, la formation a joué un rôle incontournable en 2020.

Marie-Angélique nous parle de cette année pleine de défis et comment elle a réussi à les relever.

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Après avoir travaillé dans d’autres établissements bancaires, je suis rentrée chez BNP Paribas en 2013 au Canada ou j’ai rejoint les équipes du Cash Management. Dès 2015,  je me suis orientée vers l’activité Learning & Development, et dans le cadre d’une mobilité je suis arrivée en Suisse en juin 2019 pour prendre en charge l’activité L&D pour le territoire suisse au sein de l’équipe Change Management aux Ressources Humaines.

Peux-tu nous expliquer ton quotidien à la Formation ?

Quotidiennement mon rôle a pour but de définir, bâtir et de mettre en place le développement des compétences de nos collaborateurs et de les lier avec les enjeux stratégiques de notre Banque. J’ai également pour mandat de développer une culture d’apprentissage continue.

Quelles sont les difficultés auxquelles tu es confrontée ?

De mon point de vue, je dirais que le principal challenge est de s’adapter à un environnement en perpétuelle transformation nécessitant une adaptation et une agilité permanente.

Il est donc primordial d’accompagner nos collaborateurs et nos managers à mieux se préparer tant sur le plan du « mindset » que sur le plan des nouvelles expertises techniques et digitales.

L’objectif est donc de contribuer à engager davantage les équipes, à maintenir leurs performances et leur permettre d’acquérir les compétences de demain qui seront clés dans le cadre de notre transformation.

Face à ces enjeux, nous avons revu notre offre de formation. Nous avons notamment identifié les thèmes qui sont essentiels pour contribuer à la réussite de notre transformation (gestion du changement, innovation, culture digitale, programme pour le développement de nos managers…).

Nous avons également opté pour des formats encore plus adaptés comme des formats plus courts tels que des workshops. Et enfin, nous avons décidé de nous appuyer sur nos ressources en interne et de développer l’approche du « Social Learning ». En effet nous disposons de nombreux experts internes qui peuvent partager leurs connaissances avec les autres collaborateurs. Cette approche à laquelle je crois est très puissante au niveau de l’engagement.

Est-ce que l’appétence des collaborateurs pour les formations a changé depuis le début de l’année ?

Il me semble que l’appétence de nos collaborateurs s’est développée au fil des mois. Nous avons noté qu’ils consacraient du temps à leur développement non seulement pour répondre à un besoin mais aussi par envie d’évoluer tout simplement. Egalement, notre communauté de « formateurs internes » s’est agrandie. Je pense qu’ils constatent les bienfaits de partager leurs expertises et l’intérêt de mettre en avant leurs activités.

Comment as-tu réussi avec l’équipe Formation à continuer d’accompagner les collaborateurs pendant la période de confinement, puis de déconfinement ?

Durant la période de la Covid-19, toutes nos formations qui étaient prévues en « format classe » ont été stoppées. Nous avons cherché avec l’équipe Change Management / L&D une alternative car il nous paraissait essentiel de garder le contact avec nos collègues. Nous avons donc mis en place des formations à distance sur des thèmes divers en lien avec ce que nous pouvions vivre en tant que collaborateurs (parentalité et télétravail, outils digitaux, gestion du temps et des priorités en home office, Covid 19,  impact sur les métaux…). Très vite ces formats courts ont eu du succès et finalement même après cette période exceptionnelle, nous pensons continuer à proposer ce format.

Comment as-tu vécu toi-même cette période particulière ? que retiens-tu ?

Pour ma part j’ai vécu cette période d’une façon très positive. L’équipe Change Management /L&D a très vite su rebondir, rester présente pour les collaborateurs et continuer à leur donner des solutions pour se développer.  Je trouve cette période très instructive, où du jour au lendemain nous avons dû nous approprier les nouvelles méthodes de travail, mieux utiliser nos outils digitaux et tout simplement mieux collaborer ensemble.

As-tu des expériences positives à partager ? Un message en particulier ?

J’ai deux messages, le premier est que cet engouement pour se développer continue et s’élargisse. L’équipe L&D/RH est là pour y contribuer. Le plus important est que chaque collaborateur prenne le temps de réfléchir sur ses besoins et s’efforce à les formaliser dans son Plan de Développement Personnel.

Le second est que je suis évidemment toujours preneuse de nouveaux « formateurs internes » ! Notre banque regorge d’experts sur des domaines aussi divers que variés sur lesquels nous souhaitons capitaliser !

Mi-juin s’est tenu le hackathon pour la résilience « Geneva Resilience hack », une initiative d’Open Geneva, du département du Développement Économique du Canton de Genève, de l’Université de Genève et de la HES-SO Genève. Cet événement s’inscrit dans la démarche du fonds d’innovation de crise et de résilience, dont BNP Paribas en Suisse est partenaire.

L’objectif de cette initiative est de proposer des solutions pour s’adapter aux défis présents et futur de façon innovante et collective pour répondre aux enjeux économiques induits par la crise sanitaire.

Nous avons rencontré un de nos collaborateurs participant à l’événement : Frédéric Lahoude.

Pourquoi avoir souhaité participer au Resilience Hack ? Savais-tu à quoi t’attendre ?

A la première invitation, étant déjà bien pris par ailleurs, j’avais un peu hésité à m’y inscrire. Lors de la relance, j’ai pris le temps de parcourir les différents thèmes et le premier « télétravail-mobilité-espaces de travail-santé au travail » me parlait bien, vu ce que j’avais vécu ces derniers mois. C’est ma première participation à un hackathon. Mais je connaissais par quelques relations qui y avaient déjà participé. J’ai regardé les détails et pu m’organiser pour me libérer sur la période du hackathon (Vendredi 12 Juin midi au Dimanche 14 Juin midi).

Je pensais sérieusement pouvoir partager mon expérience et contribuer à ce groupe de travail tout en bénéficiant des échanges dans le sens réciproque.

Qu’est-ce qu’un hackathon ?

En résumé, c’est la mise en commun de plusieurs compétences pour brainstormer en accéléré sur un sujet. C’est une incubation en mode fast-track.

Sur quel projet as-tu travaillé ?

Une des personnes du groupe avait proposé l’idée d’un outil d’autodiagnostic pour l’amélioration de l’expérience du télétravail.
Au début du hackathon, il y avait près de 30 personnes inscrites sur ce thème et concrètement, nous étions neuf vraiment actifs sur le sujet. Des personnes d’horizons divers, ce qui a rendu les échanges d’autant plus riches. Les contributeurs venaient du milieu académique, des RH, du conseil, des services aux entreprises, d’institutions d’état, et moi qui venait du privé (bancaire).
La complémentarité était un bel atout de notre groupe.

Les réflexions et les idées partagées permettront de changer certaines habitudes post-crise et aideront à mieux appréhender les futures crises.”

Frédéric Lahoude

En quoi consiste le projet sur lequel tu as travaillé ?

Le confinement a créé un bouleversement des habitudes de travail. Cela a occasionné un passage parfois brutal et dans l’urgence au télétravail, dont de nombreuses personnes ont éprouvé les limites mais aussi le potentiel. Cette nouvelle donne a mis en évidence un besoin de ressources pour pouvoir optimiser ce mode de travail en réconciliant l’équilibre vie privée/vie professionnelle et les exigences de productivité et d’efficacité économique, ainsi que la participation à la diminution de l’empreinte carbone.

Ainsi, notre groupe de travail s’est fixé comme objectif de développer une solution dont la vocation est d’aider les (télé)travailleurs et leurs employeurs à introduire ou améliorer l’expérience du télétravail.

Cela se traduit notamment par la possibilité de faire un autodiagnostic qui débouche sur des recommandations, conseils et bonnes pratiques personnalisés. Ce dispositif se veut un outil d’appui à la qualité de vie au travail; d’aide à l’organisation et à l’argumentation en faveur du télétravail pour les collaborateurs; d’aide au management du télétravail; d’aide à la décision d’introduire ou développer le télétravail pour les employeurs.

Durant le hackathon, nous avons donc travaillé sur un outil open source qui offre des interfaces conversationnelles et un moteur de recommandations reposant sur un large ensemble de référentiels en matière de télétravail. Il permet ainsi une restitution à plusieurs niveaux: individuel, équipe, département/service, entreprise et sert aussi de réservoir de données pour la recherche scientifique en matière de télétravail.

Quelle suite pour le projet ?

Au-delà du cadre du hackathon qui se poursuit, nous avons maintenu le contact avec un noyau de six personnes motivées pour poursuivre « l’aventure ».
Dans un premier temps, notre objectif est de proposer une maquette parlante que nous espérons probante afin de mener quelques pilotes auprès de différentes communautés.

En quoi ce Resilience Hack va avoir un impact positif sur la période post-covid ?

Que cela soit pour le thème auquel j’ai contribué ou les autres thèmes, la concrétisation des projets donne des idées afin d’affronter une prochaine crise (pandémique ou autre) avec une approche améliorée de l’expérience Covid-19 et des idées qui ont émergées lors du hackathon. Les thèmes étaient diversifiés et abordaient un large panel de problématiques et de solutions (les PME, le tourisme (y.c. tourisme d’affaires), la culture, la santé, le social, la formation, l’automatisation de certains métiers à risque, la fabrication locale, gestion de projets à distance pour les ONG, technologies pour les commerçants et restaurateurs, …).

Même si l’intégralité des idées ne sera pas mise en place, les réflexions et les idées partagées permettront de changer certaines habitudes post-crise et aideront à mieux appréhender les futures crises.

Que retires-tu de cette expérience ? Le recommanderais-tu ?

Ce que je retire de ces trois jours est surtout une expérience intense (j’avais annoncé 10 heures d’investissement personnel, et j’ai fini presque au double). Au-delà du fait que cela était ma première participation à un hackathon, c’était également un hackathon à distance. Ainsi, j’ai pu découvrir et manipuler de multiples outils collaboratifs (Slack, MIRO, Rocket.Chat, MindMeister, Zoom, Google Docs, …).
Je retiens surtout un bon alignement et une riche diversité des contributeurs qui ont permis des échanges d’un niveau captivant et profitable.
Sans aucune hésitation, je recommande cette expérience.

Carole Ackermann nommée au conseil d’administration de BNP Paribas (Suisse) SA

Carole Ackermann est née en 1970 et a grandi à Zurich

En tant que dirigeante et cofondatrice de Diamondscull AG, elle investit très en amont dans des sociétés du secteur des technologies de l’information et de la communication. Carole est aussi administratrice pour des entreprises comme Allianz Suisse, BKW, BVZ Holding, l’agence d’innovation be-advanced, coprésidente du Female Innovation Forum et membre du jury de Venture Kick.

Avec un doctorat en marketing de l’Université de St-Gall, elle est maître de conférence en gestion d’entreprise / projets d’intégration.

Dotée d’un esprit entrepreneurial, axée sur l’intégration et une approche terre à terre, elle a à cœur d’identifier discuter et promouvoir de nouvelles idées tout en les transformant projets concrets et en résultats. Carole participe également à des conférences thématiques sur l’entreprenariat, les startups et les femmes.