Il y a un an, BNP Paribas en Suisse et Raleigh International se sont engagés dans une collaboration de 3 ans visant à contribuer à la reconstruction et au développement durable du Népal.

Un partenariat autour du programme WASH

Le cœur du partenariat, qui unit la filiale suisse du Groupe BNP Paribas avec l’organisation à but non lucratif Raleigh International, repose sur le déploiement au Népal du programme WASH (Water, Sanitation And Hygiene) visant à améliorer :

  • les réseaux d’eau,
  • les infrastructures sanitaires,
  • les pratiques d’hygiène.

La région du Gorkha : zone sinistrée

La région du Gorkha est située à l’épicentre du premier tremblement de terre qui a frappé le pays en avril 2015. La catastrophe naturelle a laissé ces communautés dépourvues des services de bases, avec un grand nombre de constructions et dispositifs détruits, et aujourd’hui encore trop partiellement reconstruits. Un cercle de pauvreté et de maladie se perpétue ainsi parmi les foyers les plus affectés, et le besoin de développement d’infrastructures et de pratiques sanitaires est critique.

Une mobilisation conjointe des équipes de Raleigh et des collaborateurs de BNP Paribas en Suisse !

Dans ce contexte, la collaboration entre BNP Paribas (Suisse) SA et Raleigh a déjà pu apporter en 2016 des solutions concrètes aux populations locales du Gorkha, avec l’aide de volontaires venus du monde entier. La banque donne d’ailleurs à ses employés la possibilité de joindre ces équipes de bénévoles, pour des missions de terrain allant de 2 à 8 semaines. Deux managers de la banque sont ainsi actuellement sur place, du 12 juin au 2 août, pour encadrer les jeunes volontaires de Raleigh dans la mise en place de projets WASH.

Un an, et un impact déjà important !

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Entre 2017 et 2019, la Fondation BNP Paribas va doter son programme Climate Initiative de 6 millions d’euros et 8 projets internationaux de recherche seront financés.

Ils portent sur des problématiques variées telles que la collecte de nouvelles données sur les climats passés en Antarctique ou dans les zones tropicales, l’expansion de la région subtropicale sèche en Amérique du Sud, une évaluation de l’impact du changement climatique sur les récifs coralliens ou encore la capacité de séquestration du carbone des sols cultivés en Afrique.

Lancé en 2010 par la Fondation BNP Paribas ce programme a pour objet de développer les connaissances sur le changement climatique et ses impacts sur notre environnement. Il a déjà permis à 10 équipes de recherche internationales d’étudier le climat et de sensibiliser plus de 200 000 personnes aux enjeux du changement climatique.

8 projets, 178 chercheurs, professeurs et ingénieurs, 73 universités et organismes de recherche à travers le monde

Ces projets internationaux et interdisciplinaires portent sur des problématiques variées liées au fonctionnement du climat, son évolution mais aussi les impacts qu’elle aura sur notre environnement. Ils représentent un budget total de 14,4 millions d’euros dont 6 millions sont apportés par la Fondation BNP Paribas.

  • Collecter des données inédites pour modéliser l’évolution de la masse de l’Antarctique de l’Est, région encore peu explorée, et les conséquences qu’elle pourrait avoir sur l’élévation du niveau des océans. Projet dirigé par Barbara Stenni (Univerista CA’ FOSCARI VENEZIA), Joël Savarino (IGE (CNRS/Université Grenoble Alpes), Detlev Helmig (University of Colorado), Tas van Ommen (Australian Antarctic Division).
  • Mesurer l’impact du réchauffement climatique sur les espèces d’oiseaux et de mammifères marins qui peuplent l’Arctique et l’Antarctique ou en dépendent pour leur reproduction. Projet dirigé par Christophe Barbraud et Yan Ropert-Coudert (CEBC, (CNRS/Université la Rochelle)).
  • Améliorer la prise en compte des projections du GIEC et des impacts sur les domaines économiques, politiques et socioculturels dans les modèles de gouvernance dans les pays les plus vulnérables au changement climatique. Projet dirigé par Joost Vervoort (Université d’Utrecht).
  • Collecter des données inédites sur le climat des derniers 800 000 ans des zones tropicales pour mieux définir les changements climatiques régionaux et comprendre comment la forêt tropicale y a réagi. Projet dirigé par Marie-Pierre Ledru (ISEM (UM/CNRS/IRD/EPHE)).
  • Mesurer et prédire les conséquences du réchauffement climatique sur les récifs coralliens et les services qu’ils rendent (pêche, tourisme, protection des côtes). Projet dirigé par Valeriano Parravicini (Ecole Pratique des Hautes Etudes).
  • Modéliser les événements extrêmes dus au changement climatique en Afrique et leurs impacts pour permettre aux populations de diminuer leur exposition à ces phénomènes. Projet dirigé par Mark New (University of Cape Town) et Friederike Otto (Université d’Oxford).
  • Mieux comprendre l’interaction entre le changement climatique et la cellule de Hadley (mouvement atmosphérique à grande échelle qui redistribue la chaleur depuis l’équateur jusqu’aux tropiques) et qui étend les zones sèches subtropicales dans l’Hémisphère Sud. Projet dirigé par Valérie Daux (LSCE (CNRS/CEA/Université de Versailles Saint Quentin)).
  • Mieux comprendre les mécanismes de séquestration du carbone dans le sol dans les systèmes agricoles des zones tropicales et améliorer les pratiques d’agriculture familiale. Projet dirigé par Lydie Lardy (UMR Eco&Sols – Montpellier SupAgro/CIRAD/INRA/IRD).

Les projets ont été sélectionnés par un comité scientifique composé d’experts reconnus :

  • Franck Courchamp, directeur de recherche CNRS au Laboratoire Ecologie Systématique et Evolution (CNRS/Université Paris-Sud), lauréat du programme Climate Initiative en 2014.
  • Philippe Gillet, Vice-Président de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Il anime le comité scientifique et est membre du comité exécutif de la Fondation BNP Paribas.
  • Joanna Haigh, professeur de physique atmosphérique, à l’Imperial College de Londres, co-directrice du Grantham Institute for Climate Change and Environnement.
  • Corinne Le Quéré, professeur à l’Université East Anglia (Climate Change Science and Policy), Directrice du Tyndall Centre for Climate Change Research.
  • Thomas Stocker, professeur de physique du climat et de l’environnement à l’Université de Berne où il dirige le Département de physique climatique et environnementale.
  • Riccardo Valentini, professeur d’écologie forestière à l’Université de Tuscia en Italie
  • Jean-Pascal Van Ypersele, Docteur en sciences physiques, climatologue, professeur à l’Université Catholique de Louvain où il co-dirige le Master en Sciences et Gestion de l’Environnement. Il a été Vice-président du GIEC jusqu’en 2015.

Un succès pour Climate Initiative : des projets plus nombreux et plus internationaux

228 dossiers ont été reçus au dernier appel à projets en 2016 contre 65 en 2013 et 50 en 2010.

Les 228 projets rassemblent 1568 chercheurs issus de laboratoires basés dans 95 pays différents répartis sur les 5 continents. A titre de comparaison, en 2010 28 pays étaient représentés parmi les projets candidats.

95% des plus importants organismes de recherche européens sur les sciences environnementales (1) ont présenté au moins un projet.

Cette croissance importante du nombre de candidatures témoigne de la reconnaissance grandissante dont bénéficie le programme Climate Initiative qui est désormais bien inscrit dans le paysage du mécénat scientifique.

Elle s’explique aussi par la croissance de la production scientifique sur le thème du changement climatique (on dénombrait un peu moins de 15 000 publications scientifiques avec le mot clé « climate change » en 2010 alors qu’on en trouvait près de 25 000 en 2015).

A propos de Climate Initiative

Lancé en 2010 avec l’appui de la délégation à la Responsabilité Sociale et Environnementale de BNP Paribas, ce programme a déjà permis à 10 équipes de recherche internationales d’étudier le climat et de sensibiliser plus de 200 000 personnes aux enjeux du changement climatique.

En 2012, la Fondation BNP Paribas a reçu le prix spécial du Jury des Trophées du mécénat organisés par le ministère français de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie.

Tous les projets soutenus sont présentés sur le site Internet et la chaîne YouTube de la Fondation BNP Paribas.

A propos de la Fondation BNP Paribas

Placée sous l’égide de la Fondation de France, la Fondation BNP Paribas est un acteur majeur du mécénat d’entreprise depuis trente ans. Elle coordonne également le développement international du mécénat du Groupe BNP Paribas, partout où la Banque est présente.

La Fondation BNP Paribas situe son action dans une démarche de mécénat pluridisciplinaire, en faveur de projets innovants dédiés à la culture, à la solidarité et à l’environnement. Attentive à la qualité de son engagement auprès de ses partenaires, la Fondation BNP Paribas veille à accompagner leurs projets dans la durée. Depuis 1984, ce sont plus de 300 projets culturels, 40 programmes de recherche et un millier d’initiatives sociales et éducatives qui ont bénéficié de son soutien, en France et à travers le monde.

Anne-Sophie Trémouille

PRESS CONTACT

Florence Bardin

01 82 83 81 90 – 06 77 05 06 17

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(1) Classement établi par Nature 

En 2016, la Fondation BNP Paribas Suisse a pris un nouveau virage et a décidé d’ouvrir ses activités au mécénat environnemental.

Par l’accompagnement d’institutions et de chercheurs suisses, la Fondation souhaite ainsi s’investir dans la compréhension et la sensibilisation aux changements climatiques actuels, tout en soutenant le système de recherche local.

170517_BNPPSF_Expo15_WebBanner3Déjà 6 millions d’euros dans la recherche environnementale au niveau du Groupe BNP Paribas !

La Fondation du Groupe s’engage activement en faveur de la recherche sur les changements climatiques au travers de son programme Climate Initiative .

Une dizaine de projets portés par des laboratoires d’envergure internationale ont été soutenus, à hauteur de 6 millions d’euros depuis 2010.

 L’objectif poursuivi au niveau du Groupe est ainsi de comprendre les causes et impacts du réchauffement climatique afin d’en prévoir les conséquences sur notre environnement et sur les populations à travers le monde. Le Groupe souhaite également permettre aux citoyens de prendre conscience de ces enjeux au travers, entre autre, de conférences et d’expositions.

Un nouvel Institut polaire pour la Suisse

Dans la lignée des actions menées au niveau du Groupe, la Fondation BNP Paribas Suisse s’est lancée en 2016 dans le soutien à la recherche environnementale. La Fondation a concrétisé son engagement en rejoignant l’Institut Polaire Suisse (Swiss Polar Institute ).

Basé à l’EPFL, ce dernier est un consortium d’universités suisses – l’EPFL, l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL, l’ETH Zurich et l’Université de Berne – créé en 2015. Il a pour objectif de faire de la Suisse l’un des acteurs clés et fédérateurs dans le domaine des environnements extrêmes et de la recherche polaire au travers d’initiatives scientifiques collaboratives et internationales.

Une expédition unique autour de l’Antarctique !

Dorsel fin of fin whale as it surfaces prior to sounding Credit : Swiss Polar Institute

Le premier projet majeur de l’Institut est une expédition scientifique internationale de circumnavigation autour du continent Antarctique (Antarctic Circumnavigation Expedition ). Cette opération, menée du 20 décembre 2016 au 19 mars 2017 à bord du navire russe Akademik Treshnikov, avait pour but de mesurer et quantifier l’impact des changements climatiques  et de la pollution dans l’océan Austral. 22 projets de recherche dirigés par 55 chercheurs issus d’une trentaine de pays participaient à l’expédition.

Deux équipes de chercheurs Suisse soutenus par la Fondation

Dans ce contexte, la Fondation BNP Paribas Suisse a fait le choix d’accompagner plus spécifiquement deux des 22 projets présents à bord de l’expédition. Le premier, dirigé par le Pr.Heini Wernli de l’ETH Zürich, porte sur la « Recherche sur les interactions entre l’air et l’océan », tandis que le second est mené à l’EPFL par le Pr.Katherine C. Leonard et s’intéresse à «pourquoi les océans se sont désalinisés ».

Venez découvrir les actions de la Fondation!

fondation 15 ans

Dans le cadre de son engagement en faveur de la lutte contre le dérèglement climatique, BNP Paribas s’engage à neutraliser ses émissions de CO2 liées à son fonctionnement d’ici la fin de l’année.

La concrétisation de ce projet passe par trois actions complémentaires :

    • Depuis 2012, BNP Paribas a réduit ses émissions directes de CO2 de plus de 15% par collaborateur, en ligne avec l’objectif de – 25% à horizon 2020. Cette réduction résulte d’une politique active d’efficacité énergétique des bâtiments, des data centers ou encore de l’optimisation des déplacements professionnels. Un véritable challenge lorsque l’on sait que les immeubles occupés par BNP Paribas à travers le monde représentent plus de 7 millions de m2 !
    • Plus de la moitié de ces émissions de CO2 vient de notre consommation d’électricité. BNP Paribas s’engage à les neutraliser en n’utilisant que de l’électricité bas carbone dans tous les pays où cela est possible.
  • La compensation des émissions de CO2 incompressibles (comme les voyages professionnels ou la consommation de gaz) sera réalisée par le biais de partenariat avec des organisations de référence et en conformité avec nos exigences de responsabilité : par exemple, BNP Paribas va mener un partenariat avec GoodPlanet autour de la construction de biodigesteurs, équipements individuels de production de biogaz, en milieu rural en Inde.

Pour Yann Arthus-Bertrand, Président de GoodPlanet : «en Inde, ce projet permettra à plus de 12 000 familles soit plus de 50.000 personnes de bénéficier d’une énergie propre. Il aura non seulement un impact environnemental fort en limitant la déforestation (le biogaz se substitue au bois ou au kérosène), mais aussi un impact social important : il améliorera les conditions de vie des populations et en particulier les femmes en diminuant les risques d’infections respiratoires et oculaires dues à la pollution de l’air intérieur. »

«Au cours des dernières années, nous avons franchi un certain nombre d’étapes dans notre stratégie climatique, en décidant notamment de multiplier par deux nos financements dans le domaine des énergies renouvelables, (soit 15 Mds € d’ici 2020) ou de ne plus financer les projets de centrales à charbon. Cet objectif de neutralité carbone liée à notre fonctionnement nous permet de prolonger notre contribution à la limitation du réchauffement climatique  », expose Jean-Laurent Bonnafé, Administrateur Directeur Général de BNP Paribas. 

BNP Paribas renforce ainsi son positionnement comme l’une des premières banques européennes en termes de contribution effective aux objectifs de la COP21. A son actif, quelques autres récentes initiatives fortes :

    • le refus du financement des projets de centrales à charbon et des mines de charbon, quel que soit le pays concerné, et d’entreprises productrices d’électricité dont la stratégie de réduction de la part de charbon dans leur production est moins ambitieuse que celle de leur pays ;
    • l’investissement de 100 M€ d’ici 2020 dans des start-up qui innovent pour accélérer la transition énergétique ;
      • l’intégration progressive de la composante climatique dans la méthodologie de notation des projets et entreprises financés : nous venons de rejoindre la Carbon Pricing Leadership Coalition, qui sous l’égide de la Banque mondiale, vise à soutenir et encourager la mise en œuvre de la tarification du carbone dans le monde entier ;
    • la publication de l’empreinte carbone de plus d’une centaine de fonds gérés par BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP), en résonance avec son implication dans la Portfolio Decarbonization Coalition. BNPP IP propose également une gamme élargie de fonds bas carbone aux investisseurs.

 Découvrez l’infographie

carbon neutral

Retrouvez l’ensemble de nos engagements en faveur de la lutte contre le changement climatique 

 A propos de BNP Paribas

BNP Paribas est une banque de premier plan en Europe avec un rayonnement international. Elle est présente dans 74 pays, avec plus de 192 000 collaborateurs, dont plus de  146 000 en Europe. Le Groupe détient des positions clés dans ses trois grands domaines d’activité : Domestic Markets et International Financial Services, dont les réseaux de banques de détail et les services financiers sont regroupés dans Retail Banking & Services, et Corporate & Institutional Banking, centré sur les clientèles Entreprises et Institutionnels. Le Groupe accompagne l’ensemble de ses clients (particuliers, associations, entrepreneurs, PME, grandes entreprises et institutionnels) pour les aider à réaliser leurs projets en leur proposant des services de financement, d’investissement, d’épargne et de protection.  En Europe, le Groupe a quatre marchés domestiques (la Belgique, la France, l’Italie et le Luxembourg) et BNP Paribas Personal Finance est le 1er acteur spécialisé du financement aux particuliers en Europe. BNP Paribas développe également son modèle intégré de banque de détail dans les pays du bassin méditerranéen, en Turquie, en Europe de l’Est et a un réseau important dans l’Ouest des Etats-Unis. Dans ses activités Corporate & Institutional Banking et International Financial Services, BNP Paribas bénéficie d’un leadership en Europe, d’une forte présence dans les Amériques, ainsi que d’un dispositif solide et en forte croissance en Asie-Pacifique.

Valérie Sueur

Contact presse

A l’occasion de la journée de la femme ce mercredi, BNP Paribas, l’association Mixcity et les équipes RSE avec le soutien de la Direction Générale et  notamment de son CEO Geoffroy Bazin, ont souhaité  lancer plus qu’une journée…

LA semaine de la Femme du 6 au 10 mars 2017 !

Les atouts des femmes, listées par MixCity

Cette semaine de la femme s’organise autour d’événements variés, avec pour commencer, la conférence de Yann Borgstedt, créateur de la fondation Womanity, qui contribue activement à « un monde où femmes et hommes ont chacun une pleine et égale participation économique, sociale et politique ». Ensuite sera projeté le film Desert Flower, qui retrace la vie du mannequin et ambassadrice de l’ONU, Waris Dirie.

La semaine sera également rythmée par le thème Be bold for change, qui donne l’occasion aux collaborateurs de faire parvenir leurs idées, dans la plateforme digitale Jump avec des thèmes en lien avec la mixité et la diversité en entreprise et aussi de se connecter via l’application Never Eat Alone, pour découvrir de nouveaux collègues.

L’esprit de notre association Mixcity est de mobiliser les talents féminins, leur donner plus d’assurance et encore plus envie de participer aux grands évolutions de nos Métiers et Fonctions. Nos rencontres sont l’occasion de valoriser et d’encourager l’expression des valeurs féminines du partage, de la transversalité, du respect et de l’innovation, avec beaucoup de bonne humeur et sans jamais se prendre trop au sérieux !

Mixcity Switzerland, association créée au sein de BNP Paribas Suisse, regroupe plus de 70 femmes, qui au-delà de leurs responsabilités au quotidien, se retrouvent régulièrement autour de conférences ou d’évènements de networking. Ces temps forts leur permettent de partager leur dynamisme et leur volonté de participer pleinement aux grands changements que connaît la banque et le secteur depuis quelques années, d’échanger des idées, de s’entraider et de débattre sur des thèmes communs à toutes.

L’exposition SOCLE(S), conçue par Nicolas Trembley dans le cadre des New Heads – Fondation BNP Paribas Art Awards, est inaugurée le jeudi 6 novembre 2014 à LiveInYourHead, l’institut curatorial de la HEAD – Genève. Elle accueille les œuvres de Murat Bulut Aysan, Camille Dumond, Laure Marville, Marius Margot, Yoan Mudry, Ramaya Tegegne, Simon Haenni, Simone Holliger et le collectif Turn Around, toutes et tous diplômé-e-s Master en Arts visuels 2014. A cette occasion, un jury international remettra trois prix et un quatrième sera remis par les collaborateurs du Groupe BNP Paribas en Suisse.

Communiqué de Presse – Prix New Heads Fondation BNP Paribas

Les collaborateurs genevois de BNP Paribas roulent désormais au vert. Depuis le mois de janvier dernier, la navette de huit places qui circule en permanence entre les différents bâtiments de la banque fonctionne au gaz naturel. Alors qu’elle disposait déjà d’un véhicule pour la distribution du courrier alimenté de la même manière et d’un vélo-électrique pour son coursier, BNP Paribas franchit ainsi une étape supplémentaire en Suisse en faveur de l’environnement. «Il s’agit du premier minibus de ce type en Suisse propulsé au gaz naturel», se réjouit Igor Joly, Chief Administration Officer. Les avantages de ce carburant sont nombreux, à commencer par une forte diminution de la pollution. Il permet ainsi de réduire les émissions de CO2 de 39% en moyenne par rapport à un véhicule à essence de même puissance et ne rejette quasiment pas de substances nocives dans l’atmosphère. Autre atout: un coût d’alimentation moins élevé. La certification de cette navette a été réalisée par SIG dont l’un des axes directeurs est l’amélioration de la qualité de vie par la promotion des principes du développement durable. Dans cet esprit, la certification de la navette BNP Paribas (Suisse) SA illustre la volonté de SIG de développer le gaz naturel carburant (GNC) à Genève afin de favoriser l’essor des véhicules propres et contribuer ainsi à l’objectif de réduction de CO2 sur le canton. L’acquisition de cette navette écologique témoigne de l’engagement de BNP Paribas pour le développement durable, à travers sa politique de responsabilité sociale et environnementale (RSE). En 2011, la banque avait fait figure de pionnière en installant des cellules photovoltaïques sur le toit de son siège genevois. Autre exemple: BNP Paribas utilise en Suisse uniquement du papier certifié FSC, et elle entend réduire sa consommation globale de 20 à 25% dans les trois ans. «Nous considérons qu’en tant qu’acteur de l’économie, le groupe a un rôle à jouer en ce qui concerne la politique sociale et environnementale, explique Igor Joly. Par ailleurs, notre engagement dans ce domaine constitue un atout certain pour attirer de nouveaux collaborateurs, car la génération actuelle se préoccupe à juste titre toujours plus de la prise en compte de ces aspects.»